Comment ne pas être choqué. Comment ne pas être en colère contre ces dirigeants politiques et ces hauts fonctionnaires aux ordres.
Il restait le tribunal administratif, la justice au secours de la liberté. La main secourable envers notre liberté d'expression. Mais elle n'a pas tendu la main, pire, elle a validé l'interdiction. Elle a pointé son pouce vers le bas comme un empereur romain qui souhaitait la mort plutôt que la vie de celui qui était tombé.
La liberté est morte aujourd'hui, dans une salle d'un tribunal.
Ailleurs on tue et ces responsables détournent le regard. Pas vu pas pris, responsable peut-être mais pas coupable.
En France, on interdit au nom de la Liberté, on étouffe celle-ci, peu à peu, doucement. D'interdits en interdits, s'installe en France une dictature douce mais efficace: bien pensance, politiquement correct, justice aux ordres avec le soutien d'associations "communautaristes", "anti racistes", "droits de l'hommistes", un outillage judiciaire liberticide.
En France, on fait son cinéma dans la rue, on proteste contre les assassinats, on joue les indignés, mais en douce, on serre la corde au cou de notre liberté de manifester, de s'exprimer. Honte à vous !
Français de France, amoureux de la liberté, fidèles à notre histoire nationale, vous devez prendre conscience que la "socia-lie" veut la mort de notre nation.
Gérard Brazon
Interdiction d'une manifestation contre les "islamistes" dimanche à Paris
"Déséquilibrés, égorgeurs, chauffards... islamistes hors de France." C'était le mot d'ordre de la manifestation qui devait se tenir dimanche à Paris, une semaine après les marches historiques en réaction aux attentats terroristes. Mais le rassemblement a été interdit par la préfecture de police, vendredi 16 janvier.
"Nous avons reçu à 18 heures un appel de la préfecture nous informant de l'interdiction de la manifestation, nous attendons maintenant une notification officielle", a déclaré Pierre Cassen, responsable de l'association anti-islam Riposte laïque, qui organisait le rassemblement. De source proche du dossier, on annonce que la manifestation sera "très certainement interdite", mais la préfecture n'a pas officiellement confirmé l'information dans l'immédiat.
Lors de ce rassemblement, devaient s'exprimer une responsable du mouvement anti-islam Pegida, qui organise des manifestations au succès croissant en Allemagne, le philosophe Renaud Camus, théoricien du concept de "grand remplacement" (l'immigration conduit selon lui à un changement de peuple qui menacerait la civilisation française) et des responsables italien ou suisse.
Une "bonne" décision, selon le maire du 2e arrondissement
Le maire du 2e arrondissement de Paris, où devait se dérouler la manifestation, a salué une "bonne" décision de la préfecture de police. "C'est celle qu'attendaient tous les démocrates attachés à construire une société basée sur les valeurs de liberté, de paix, de tolérance, d'égalité, ou encore de solidarité entre tous et toutes quelle que soit sa culture, sa croyance ou son origine", a déclaré Jacques Boutaut.
Outre le maire, plusieurs associations, dont la Ligue des droits de l'homme, avaient demandé l'interdiction de la manifestation.
Voici le communiqué de Riposte-Laïque