Ce petit conte est écrit en novlangue orwellienne socialiste. Ce néo-langage utilise des mots et des expressions faits pour masquer la réalité. Je l'ai écrit pour montrer quelles horreurs le politiquement correct collaborationniste peut ainsi cacher et justifier.
Le conte se passe il y a soixante-quinze ans, j'ai mis en italique les expressions en novlangue moderne qu'aurait utilisé, si elle les avait connues, la presse collaborationniste de l'époque pour raconter les choses, et entre parenthèses les noms des (journaux) ou (personnalités) d'aujourd'hui chez qui je les ai trouvées.
On l'a oublié, mais la presse de la gauche pacifiste, les trotskistes et le Parti Communiste Français présentèrent à ses débuts l'invasion nazie comme "une chance pour la France".
********************
Ils n'étaient pas nombreux, les Français de souche racistes, pour voir passer sur la route
ces immigrants privés de papiers (Libération), habillés de vert-de-gris, brandissant un drapeau étranger pour montrer à ceux dont ils envahissaient le pays qu'ils étaient
bien des groupes d'identité différente.
Les sarcasmes homophobes pleuvaient sur les beaux aryens blonds que l'on disait
homosexuels et les remarques islamophobes sur les musulmans portant les insignes de la 13ème division
SS Handstadt et de la 23ème Kama
qui passaient en chantant le Horst-Wessel-Lied.
Qu'avaient-ils à leur reprocher les fascistes à l'odeur
nauséabonde à cesreprésentants d'une civilisation éblouissante (J. Lang) qui venaient généreusement régénérer la leur si décadente ? D'avoir commis dès leur
entrée en France quelquesincivilités (médias), quelques faux pas (France 2), des bêtises en somme (Le Parisien), brûlé des bâtiments publics et
des voitures, attaqué nos forces de l'ordrepour s'amuser (C. Taubira) ?
Ce n'étaient après tout que de pauvres candidats à l'immigration (Le Figaro), logés dans
les quartiers populaires, leurs grands frères squattant de leur côté dans les belles demeures et les châteaux des capitalistes de l'oligarchie financière
judéo-maçonnique (blogs d'extrême-droite). Finalement, ils étaient l'expression vivante de la mobilité européenne (commissaire européen Franco Frattini), de braves
types venant nous débarrasser de la finance juive et du désordre politique radical-socialiste.
Certes, ils ne se mélangeaient pas, préféraient rester entre aryens d'un côté, musulmans de l'autre, car bien
qu'ayant la même idéologie islamo-nazie et combattant dans la même armée, il était hors de question de mêler les torchons aux serviettes. Mais qu'ils soient nazis ou musulmans, les deux
éprouvaient une répulsion commune pour les Français souchiens, leur judéo-christianisme et leurs mœurs sexuelles décadentes. Cependant tout cela n'était après tout
que des considérations éthiques (Le Monde).
Certes, il y avait bien eu quelques incidents avec les Juifs que ces jeunes issus de
l'immigration (ministres) voulaient exterminer. On les avait vu défiler avec leurs drapeaux en hurlant "mort aux Juifs", attaquer et brûler leurs magasins et leurs synagogues,
brutaliser ceux qui tentaient de s'y opposer, insulter les passants, casser des équipements publics, brûler des voitures.
(Émeute "ethnique" à Nantes)
Des jeux ! Il faut bien qu'ils s'amusent, répétait la ministre de la justice qui disait aussi que La Marseillaise n'était que du karaoké d'estrade et absolvait de
toute faute ceux qui disaient que le drapeau français est fait pour se torcher en joignant le geste à la parole. De leur côté les agents du
ministère de l'Education nationale expliquaient doctement que cela était dû à ce que ces migrants sont les enfants issus de familles d'éducation
éloignée (ministère), qu'il ne fallait pas s'offusquer desdélits d'appropriation (Le Midi libre) qu'ils commettaient, que nous finirions bien de gré ou de force par nous
assimiler à ces groupes d'identités de quartiers (LCI).
Leurs graffeurs, des artistes au talent indiscutable (A. Filipetti), habillaient les murs
de nos villes de textes poétiques comme "dénoncez les Juifs", illustrés de jolies croix gammées. De temps en temps cela entrainait avec les souchiens
nauséabondsdu quartier des bagarres par balles (TF1).
Il y avait incontestablement un excès d'immigration (Claude Guéant), d'autant que nombre
de ces immigrants refusaient notre langue et nos lois, disant que c'était à nous d'apprendre et de respecter les leurs et qu'ils étaient souvent défavorablement connus des services de
police pourtant aux ordres d'un gouvernement qui recommandait la collaboration avec l'envahisseur.
Un jour cependant, il leur fallut quatre ans quand même, lassés de tant de jeux excessifs, même les
collaborateurs socialistes et communistes du gouvernement de Vichy, les Mitterrand, Hernu, Rousselet, Gouze-Raynal, Dumas* et bien d'autres rejoignirent la résistance à l'occupant et celui-ci fut
repoussé au-delà du Rhin.
L'invasion actuelle n'est pas du tout, dans son histoire, ses méthodes et son action, identique à celle de
1940, pourtant sa finalité est la même : nous faire adopter une idéologie nouvelle, nous mettre sous la coupe de l'occupant et lui servir de vaches à lait.
Notre presse, abusivement qualifiée de "nationale", d'autant que la plupart de ses dirigeant sont membres du
club mondialiste "Le Siècle", utilise les mots de la novlangue, appelés éléments de langage, pour camoufler et développer ses arguments. Ils ressemblent étrangement à ceux que l'on
trouvait dans l'Humanitéde 1939 à juin 1941, pour expliquer que l'invasion nazie était bonne pour la France, qu'il fallait collaborer pour lutter contre la finance et l'agressivité
juives et "créer l'internationale franco-allemande des travailleurs". Mais à l'époque, les journalistes et les hommes politiques savaient encore parler un français clair et
compréhensible de tous : "Les travailleurs français doivent apprendre l'allemand et comprendre que l'idéologie national-socialiste est notre avenir" écrivait l'éditorialiste
de L'HumanitéPierre Courtade.
En 1939, quand ils entendaient "national-socialisme", les communistes et bon nombre de socialistes ne
retenaient que "socialisme", aujourd'hui quand ils entendent "islam", ils voient le mythe d'Al-Andalus.
(construction de l'Institut des Cultures d'islam qui va doubler l'Institut du monde arabe)
(massacre de mécréants)
(Eglise d'Oradour ? Non, une église au Nigéria)
On a le droit d'être optimiste et de croire que إسْﻻم islam, qui signifie
en arabe "soumission", deviendra دَمْج qui signifie en arabe
"intégration" ou "assimilation", mais c'est renouveler la même erreur que d'avoir cru que dans le national-socialisme le socialisme finirait par l'emporter sur le nazisme. Ils disent
aujourd'hui qu'il faut apprendre l'arabe et lire le Coran pour comprendre la beauté de la civilisation sexiste et esclavagiste musulmane des immigrés.
En novlangue, cela donne cette phrase prononcée lors d'un séminaire du PS à Lille, mairie de Martine
Aubry
: "La géopolitique et la prospective scientifique montrent que l'arabe est devenu une langue
incontournable et que si l'on ne prend pas en compte le contexte culturel des locuteurs qui vivent en France…" https://www.youtube.com/watch?v=Te1N373EEdc
Bref, tout ce charabia pour dire qu'il faut enseigner l'arabe, langue du colonisateur, dans les collèges
comme première langue.
On pourrait croire que "le contexte culturel" dans lequel se retrouve l'immigrant africain arrivant
en France c'est le français et que c'est à ce "locuteur" d'apprendre notre langue pour s'intégrer, et bien non ! Pour le parti socialiste, c'est l'inverse, de même qu'en 1939 le PCF
recommandait aux français d'apprendre l'allemand, le PS voudrait que nos enfants apprennent l'arabe pour raison de "géopolitique et de prospective scientifique" ce qui se traduit en
français par "puisque de toute façon ils seront bientôt plus nombreux que les Français de souche".
Maurice D.
* Du temps de Vichy :
François Mitterrand fut responsable de la protection du maréchal Pétain, puis secrétaire d'Etat aux Anciens combattants et décoré de la francisque
Charles Hernu, chef du Bureau de la propagande ouvrière
André Rousselet, sous-préfet, au même rang que Maurice Papon
Christine Gouze-Reynal, la sœur de Danièle, secrétaire de la censure cinématographique
Roland Dumas, chef de section chez les Scouts pétainistes de la Forêt de Tronçais