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Depuis leur naissance, les socialistes ont toujours craché sur la France… Par Lazare Zylbergleitt

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Par Lazare Zylbergleitt

Nous savons aujourd’hui (13 décembre) que le premier ministre est un menteur, car, dans l’un des cinq rapports dits « sur la refondation de l’intégration républicaine », qui lui a été remis en septembre 2013 nous trouvons dans un innocent texte intitulé « la mobilité sociale » ces mots qui signe la fin de l’identité française.
« Travailler le sentiment d’appartenance : un nous inclusif et solidaire »
« Comment susciter et cultiver un sentiment commun d’appartenance, en contexte pluriel ?

Clairement, celui-ci ne peut pas reposer sur la religion ou « l’origine ethnique », du fait précisément que les religions et origines sont diverses. Mais, note le philosophe Bikhu Parekh (2002), « une culture nationale partagée (…) amène à des difficultés semblables ».
La situation française est éclairante, sur ce plan, et c’est bien le défi contemporain que de réaménager les fondations jusque-là entendues dans un sens étatico-national assez étroit. Une référence morale est globalement nécessaire, mais avec ce problème qu’« une vue partagée de la bonne vie ne peut pas être la base d’un sentiment commun d’appartenance non plus, pour la bonne raison qu’il n’y a aucun moyen rationnel de résoudre les profonds désaccords moraux qui caractérisent toutes les sociétés modernes ». Autrement dit, on ne peut fonder de façon ultime ce sentiment d’appartenance ni sur une approche ethnico-religieuse, ni sur une approche strictement nationale, ni sur une approche strictement morale. Toutes trois supposent d’imposer les croyances de certains à tous, au nom d’une présumée antériorité ou supériorité.


Reformuler la question nationale or, et c’est une partie importante de notre problème, en France, la réponse a cette question du sentiment d’appartenance a principalement été la tentative de promouvoir une culture nationale. L’école tout particulièrement, en a été un vecteur stratégique. Les rares tentatives de changer d’approche, comme cela a été le cas dans les réflexions sur le rôle de l’école en contexte dit « interculturel », autour du rapport de Jacques Berque (1985), ont été rapidement vouées à l’échec. Elles se sont heurtées à l’hégémonie d’un discours de préséance nationale conduisant à stigmatiser l’immigration, qui a abouti au retour d’une logique nationaliste largement fondée, par implicite, sur une conception ethnique de la nation — ce que l’on peut qualifier de logique ethnonationaliste. « En tous les cas, la croyance, très ancrée et fortement défendue, dans le fait que le registre national peu solutionné les défis de l’époque est aujourd’hui clairement un obstacle à la résolution du problème qui est le nôtre. » On le voit sur divers plans, de la construction européenne à la définition de l’identité commune. Car, sauf à chercher à « purifier » et hiérarchiser les appartenances — de sinistre mémoire, mais cela se rejoue sous d’autres formes aujourd’hui —, le défi est bien d’inventer et de réaliser une identification collective à une communauté qui s’accepte et se reconnaît comme étant plurielle. Est-ce à dire qu’il faille enterrer la question de la nation ? Non. Au minimum, il s’agit de la reformuler en profondeur : sur une base « inclusive », comme une « grande nation », propose Thierry Tuot (2013). »


Ainsi d’un sociologue indien « Bikhu Parekh » qui a sans doute oublié que Nehru en 1947 appliqua une partition avec le Pakistan, car il ne voulait pas de musulmans en Inde à Jacques Berque, pétainistes antisémites et collaborateurs du FLN, les choix idéologiques du pouvoir socialiste apparaissent en lettre de néon.
Ceux-là mêmes qui depuis leur création ont toujours craché sur la France et les Français, de Jaurès et Gustave Hervé à Laval, Doriot et Bousquet, ces gens-là : la gauche, ont décidé cyniquement de remplacer les Français, et également la France dans un salmigondis pseudo-mondialiste.
Ce n’est pas l’immigration qui est stigmatisée, comme il est dit plus haut, c’est elle qui est stigmatisante, c’est elle qui crache sur la France et ne voit en notre pays qu’une vache à lait éternellement condamnée à payer une soi-disant « politique coloniale » alors que comme l’Inde, dont Marx, disait que la seule révolution dans ce pays fut la colonisation anglaise, notre politique coloniale qui fut une véritable révolution pour les pays colonisés et leur ont permis l’accès au progrés, cette colonisation, coûta cher au français et ils continuent à la payer.
Il nous faut relire les travaux de Daniel Lefeuvre, qui en honnête historien remit les choses en place.
Ces rapports qui offusquent aujourd’hui le premier ministre car ils ont été découverts, sont en réalité la mise en place de la politique socialiste qui se déploiera après les municipales et là dans toute son amplitude criminelle pour la France.
Les centaines de milliards dépensés pour l’immigration comme ceux dépensés pour les DOM-TOM, sont un poids pour les Français qui, aujourd’hui, comprennent de plus en plus que c’est leur peau qui est en cause.
Nous aimons la France, nous aimons les Français, nous tenons à notre langue, à nos traditions chrétiennes, à notre culture judéo-chrétienne, alors tenons-nous prêt à les défendre de toutes les manières, préparons-nous à renvoyer les « non-Français » chez eux, de gré ou de force.

Lazare Zylbergleitt

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