Des salauds qui agressent des femmes surtout âgées, des ordures comme le fils de Marisol Touraine * (Ministre socialiste) qui fût condamné par trois ans de prison pour violence aggravée, il y en a de plus en plus.
Cette histoire de classée "faits divers", dont la "Justice" se fout totalement par manque de moyens dit-elle, par manque de places, par manque de courage politique pour affirmer et sanctionner, se répete.
Ps: Marisol Touraine s'est acquittée de l'Impôt sur la Fortune en 2011 au titre du patrimoine 20104. En mars 2013, son fils aîné est condamné à une peine de trois ans de prison ferme pour « extorsion de fonds » et « séquestration » ; il est incarcéré depuis septembre 2013 à la prison de la Santé5.
Ses agresseurs libérés, elle tente de se suicider
Une femme violemment agressée à son domicile de
Fontenay-sous-Bois (Val-de-Marne)
fin octobre a tenté de se suicider après avoir appris que ses agresseurs avaient été remis en liberté, a-t-on appris aujourd'hui de sources concordantes.
Selon Le Parisien,
qui rapporte l'information, la victime, une retraitée de 58 ans, a tenté de mettre fin à ses jours dans la nuit de lundi à mardi, traumatisée par le retour dans son quartier de ceux qui l'avaient
attaquée quelques jours plus tôt.
Les premiers faits remontent au 31 octobre dernier. Ce jour-là,
trois personnes pénètrent de force dans son domicile. Ils la frappent et la jettent au sol, avant de lui dérober des bijoux sous la menace d'un couteau. Ils parviennent à prendre la fuite
mais sont interpellés quelques jours plus tard grâce à des traces ADN laissées sur les lieux.
Les trois agresseurs présumés, deux mineurs et un majeur, sont
placés en garde à vue et mis en examen le 16 novembre pour séquestration, vol avec arme et violences aggravées, a précisé une source judiciaire, des faits passibles de dix ans de
prison.
Le parquet de Créteil, qui ouvre alors une information
judiciaire, requiert leur placement en détention. Mais contre l'avis du parquet, le juge des libertés ordonne qu'ils soient placés sous contrôle judiciaire. Ils ne sont donc pas écroués mais
remis en liberté.
Leur contrôle judiciaire stipule toutefois qu'ils ne peuvent
pas entrer en contact avec la victime. Deux d'entre eux ont également l'interdiction de se rendre dans le Val-de-Marne, sauf pour leur scolarité. Le troisième, qui habite Fontenay, a
l'interdiction de se rendre dans le quartier de la Redoute, où se sont déroulés les faits.
Ainsi, selon la fille de la victime, citée
dans le Parisien, deux des agresseurs présumés ont été vus à Fontenay depuis l'agression. "L'un d'eux est même avec moi aux leçons de code à l'auto-école à deux
pas de là", a-t-elle affirmé au journal. "Savoir que ses agresseurs sont de retour dans la ville lui est insupportable", a-t-elle ajouté au sujet de sa mère.
Le Parquet a indiqué son intention de faire appel. Le dossier doit passer devant la chambre de l'instruction mardi 10 décembre. La mairie de Fontenay-sous-Bois, qui a reçu la fille de la victime hier après-midi, a indiqué avoir fait une proposition de relogement à la victime.