Dans ma commune de Puteaux, c'est la galette "citoyenne" au lieu de la galette des Rois. Dans le genre faux-cul, la municipalité de Puteaux n'est pas la seule! Il est insupportable de voir des municipalités, des maires qui abandonnent les fondamentaux de notre société au nom de la "laïcité" alors qu'en sous main, on favorise la construction de mosquées au nom du bien "vivre ensemble"!
Combien de temps cette position sera-elle tenable?
Combien de temps ces élus vont-ils se moquer des français? De leurs électeurs finalement.
Qui peut croire que des élus sont les représentants de l'opinion publique en permanence et que le fait d'être élus les autorise à ne pas tenir compte des sentiments des français dans leur ensemble.Ces élus de droite comme de gauche n'ont pas l'autorisation d'aller contre les fondamentaux de notre société qui sont basés sur notre culture Judéo-chrétienne. Il est tout même aberrant de constater que des soi-disant Gaullistes piétinent l'enseignement du général, qu'ils ont longtemps considéré comme leur héros mais dont ils ne respectent plus l'héritage. Jamais celui-ci n'aurait débaptisé la galette des Rois.
Celle-ci fait justement partie de ces fondamentaux au même titre que Noël, comme Pâques, comme l'Ascension et en l'appelant "citoyenne", c'est en fait une insulte à la France de nos parents et de ceux qui ce sont battus pour elle!
En l'appelant "citoyenne" on souligne la "révolution" tout en niant la profondeur historique de la Nation France quiinclutnos Rois, nos Empereurs et nos Républiques! Notre Histoire en somme pour ne pas discriminer "une minorité" qui vote et votera en 2014 sans doute. Pitoyable car dans ma commune, les musulmans ont voté pour François Hollande!
Gérard Brazon
*****
Brest ne veut pas entendre parler d’Épiphanie à l’occasion de la galette des Rois dans les écoles
Laïcisme. Parce que, cette année, le mot « Épiphanie » était inscrit sur les couronnes des galettes des rois (en carton recyclé) proposées aux enfants des cantines des écoles publiques, la ville de Brest les a retirées de la circulation et les écoliers qui ont eu la fève n’ont pas été sacrés rois ni pu choisir leur reine, rapporte Le Télégramme.
« À nos yeux, c’était faire rentrer le religieux à l’école, ce qui est interdit par la loi », justifie le plus sérieusement du mondela mairie socialiste.
Cela fait dire à Steven Le Roy, chroniqueur au Télégramme (réputé de gauche) que, « dans la symbolique, qu’on le veuille ou non, les enfants ont quand même célébré l’Épiphanie sans pouvoir la nommer et sans pouvoir davantage expliquer les raisons justifiant l’absence de coiffure royale cette année. À une possible petite leçon sur les rites qui nous entourent, a été préféré le silence total, protégé par les immenses parapluies de la loi et reposant sur le dos large et polymorphe de la laïcité, accommodée à toutes les pâtes frangipanes possibles ».
Il s’interroge, et nous avec : « Puisque la porte est ainsi ouverte, est-il possible alors de militer pour le retrait des oeufs en chocolat à Pâques ? Est-il envisageable de manifester pour que le jeudi de l’Ascension soit travaillé sous peine de compromission avec l’Évêché ? »