Chaque Français aspire à la sécurité. Aprés la liberté qui va avec responsabilité, nous avons
besoin de sécurité.
A ce jour, cette sécurité s'éloigne. Nous sommes tous supceptibles d'être agressés y compris par ce que nous
considérions autrefois comme des morveux.
Le gamin de 10 ans en culotte courte s'est transformé en petite ordure pouvant semer la terreur dans un
quartier, à l'école, etc.
Certes, et heureusement, tous nos gamins et gamines ne ressemblent pas à ces petites frappes. Pour autant,
faut-il ne pas prendre en compte ce changement de mentalité. Adieu les gamins tirant la sonnette, bonjour les tireurs de porte-monnaies de nos vieux, les guetteurs dans les cités gagnant bien plus
qu'un smicard en fin de mois. Les mêmes qui sont gentiment considérés par nos médias. De pauvres jeunes en situation difficile et vivant dans des familles défavorisées, rejettés par la société
raciste et tous ces salauds de franchouillards.
Du haut en bas de l'échelle de la société bien pensante, c'est les Français qui sont les
coupables.
Qui sont les responsables ? Ceux la même qui ont mis en place ce laxisme. Cette idéologie
de l'excuse permanente, de l'irresponsabilité des parents, de l'incompétence des profs de gauche idéologiquement tarés, de cette éducation nationale qui donne une image malheureuse de notre France
éternelle.
Vous êtes priés de vous adapter à l'immigré couvert de vertus et vous qui êtes les souchiens, de vous plier
à la doxa "humaniste et totalitaire".
Ces gamins de dix ans deviendront des hommes mais sûrement pas des citoyens aimant leur Pays et respectant
la France... Les chiens ne font pas des chats disaient nos ancêtres. Les hyiènes ne feront jamais des Lions.
Aujourd'hui et malgré la colère des gardiens de prisons, des prisonniers pourront avoir un potable dans
leurs cellules. Nous sommes en plein délire idéologique. Le coupable mieux traités que la victime. Le même schéma que l'immigré de fraîche date mieux traité que le Français de souche payant ses
impôts.
Nous vivons une folie, dans un système de politiques totalement autistes.
Que doit-on faire docteur ? Se soigner et sortir les responsables.
Je reste choqué par ceux qui ne vont pas voter. Il faut aller voter massivement et sortir ces responsables
que nous connaissons bien désormais. Sinon et bientôt, nous ne pourrons pas éviter un conflit majeur. Le vote, c'est la dernière ligne droite avant un virage serré.
Gérard Brazon
.
Après les besoins physiologiques primordiaux (ceux liés à la survie), le
psychologue américain
Abraham Maslow, dans sa fameuse
pyramide des besoins (ci-contre), a placé au second rang le besoin de sécurité des individus.
Mais la sécurité est-elle encore garantie dans notre pays ? Avec quels moyens ? Tous les partis à l'unisson
défendent ce sacro-saint principe.......par des paroles, mais les actes suivent-ils ? Face à l'escalade des menaces connues et surtout face aux nouvelles menaces, avons-nous encore la capacité de
maintenir l'ordre et de défendre notre réputation historique de pays sûr et protégé ?
Une fois ces questions posées (et nous avons le devoir de les poser), il nous faut quelques réponses claires
que chaque citoyens est en droit d'attendre d'un pays civilisé et à l'avant-garde.
Selon les dernières statistiques diffusées par la Confédération, 2013 a été une année heureuse, si l'on veut
: moins d'infractions au code pénal, moins de vols et de hold-up, diminution des délits imputés à des mineurs ou à des requérant d'asile et un niveau en baisse des délits violents.
Mais où en est-on avec le terrorisme ? La France, au début du mois de janvier, a vécu des jours d'angoisse
et de terreur et a du compter ses morts; la liberté d'expression a été piétinée impitoyablement avec un sang froid qui donne le frisson. Le gouvernement a su réagir rapidement pour soigner les
symptômes du mal mais les racines sont encore là et pourraient produire de nouvelles pousses en France mais aussi dans notre pays. Tout le monde est d'accord pour reconnaître que la prévention a
été faible et inefficace, car tout aurait vraiment pu être évité par des contrôles plus minutieux, une surveillance accrue des présumés terroristes, qui, d'ailleurs, étaient bien connus de la
justice. Pour débusquer les terroristes avant qu'ils puissent frapper, les rondes de Securitas ne suffisent pas. Il faut un équipement et une organisation au niveau fédéral composés de personnes
compétentes et de technologies avancées. Pour surveiller un suspect 24h/24h, jusqu'à 25 policiers sont nécessaires !
Nous devons, en plus, contrôler les déplacements des personnes par air, mais surtout par terre, durcir les
mesures contre l'immigration clandestine et tenir à l'oeil tous les moyens de communications, les téléphones, les portables et internet. Et les accords de Schengen ? Dans quelle mesure nous
mettent-ils en danger ? Peut-être devrions-nous avoir le courage de durcir les contrôle aux frontières pour le bien de notre population.
Et c'est là que le bât blesse.
Pour se protéger du terrorisme, devons-nous accepter un état policier qui, inévitablement, pourra mettre son
nez dans la vie de personnes totalement honnêtes et bien intentionnées ? Par exemple, le système d'interception ou l'utilisation des données biométriques, indispensables pour lutter contre la
criminalité organisée et le terrorisme, ne peuvent devenir un instrument de surveillance de masse, l'occasion de recueillir et de diffuser des informations non pertinentes suite à des
investigations.
Au vu de la complexité des mesures à prendre, il faudra étudier des solutions viables et
intelligentes applicables également en Suisse, et comme on ne peut avoir le beurre et l'argent du beurre, tout devra être pesé et pensé en termes acceptables pour garantir le respect et la
protection des citoyens, deux conditions qui, jusqu'à maintenant semblaient incompatibles; mais si on confie la mise en place de ces mesures à des personnes vraiment compétentes, le respect
et la protection des citoyens pourraient parfaitement être conciliables, il suffit de le vouloir !
L'Etat doit se mettre à la recherche de solutions, mais attention, le temps nous est compté, la
tension monte, les nerfs sont à vif et font mal pour un rien !
Bruno Besomi
Candidat au Grand Conseil tessinois (Lega dei Ticinesi)
Source en italien (trad. D. Borer)