Désormais et de plus en plus de citoyens savent que nous sommes victimes de la part d'une "socia-lie", de
partis politiques vendus aux marchés, de discours démagogiques emportés par une folie anticulture française, haineuse, masochiste et vendue à tous ceux qui souhaitent notre destruction en tant
que Français de France, héritier de Clovis, Charles Martel, de nos Rois de France et Empereurs, de tous ceux qui ont fait notre grandeur, tous ces hommes qui firent la France, notre France et qui
sont, pour ces étroits du front, des hommes à abattre, à oublier. Ces traîtres de la "socia-lie" considérent que la France est trop petite pour justifier leurs actions néfastes, leurs
incapacités, leurs âpretés aux gains. Ce sont des vautours, des petits besogneux, des mouches. Non la France n'est pas petite car la grandeur n'est pas liée à la surface. Ces pseudo "gaullistes"
et socialistes d'aujourd'hui,feignent d'oublier que la France de De Gaulle d'hier avaità peu près la même surface, mais que cette France quand elle parlait était non seulement écoutée, mais
entendue.
Ces petits gens de nul part, ces pauvres types de la médiocrité, ces tristes sires et autres bouffons des Etats-Unis et des marchands ne supportent pas que la France ait encore un coeur qui bat. Que ce coeur n'a pas lâché prise. Quand je pense à ces traîtres, im me vient en mémoire cette phrase de Marie France Garaud : "Assez des médiocrités et des nonchalants de l’action. Assez des gestionnaires de la décadence."
Oui en effet, assez de ces "héritiers", de ces moins que rien, de ces capteurs d'héritage ! Si la France est à genoux, ce n'est pas pas pour s'effrondrer comme ils l'espéraient, obéissant aux ordres de Bruxelles et de la finance, mais pour mieux se relever. Des voix patriotes s'élèventde partout. Tous ces rats crient au fascisme, dés lors que les patriotes de France se font entendre. Mais nous sommes en 2015, quelques chose à changer, les Français s'éveillent... et ils ont encore de l'humour comme Bruno Gollnisch.
Gérard Brazon
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Noël Mamère ? « On devrait l’appeler, comme prénom, ‘Fête de fin d’année’, et plutôt que Mamère, ‘Parent 1′. Je trouve que ça sonne assez bien. C’est désormais sous ce vocable parfaitement laïque et républicain que nous désignerons mon collègue à l’Assemblée nationale », se moque Bruno Gollnisch dans sa dernière vidéo :