Dans le milieu de la Résistance à l'islam, nous connaissons tous Christine Tasin, fondatrice avec Pascal Olivier etGérard Couvert de Résistance Républicaine, une association de lutte contre l'islam et l'islamisation
de la France et rien que celà surtout. Ce qui me direz-vous, n'est déjà pas si mal compte tenu des islamophiles et autres adeptes de la dhimmitude qui hantent les sièges de l'Assemblée nationale,
les bancs des différents gouvernements et surtout les salles de rédactions des différents médias. Tous adeptes du coucous et du loukoum d'Arabie et du Qatar.
Seule contre tous. Et c'est justement là que le bât blesse. La passionaria de la résistance qui chante la Marseillaise avec enthousiasme, mais le poing levé comme d'autres chantent l'international, n'a pas compris que seule, elle se heurte à un mur. A mon sens, seule c'est insuffisant et c'est là le différent essentiel qui a secoué les milieux de la Résistance à l'islam. Christine Tasin a évacué au fil de l'histoire les deux cofondateurs de Résistance Républicaine.
Tous les opposants à sa ligne furentévacués petit à petit par la suite. Y compris ses plus fidèles amis qui avaient seulement le tort de vouloir tendre la main à des personnalités comme Béatrice Bourges qui, aux yeux de Christine Tasin sentait le souffre contre révolutionnaire au mieux, ou était une sorte de diable de la bourgeoisie catholique réincarné venu tout droit des abîmes de l'enfer royaliste et forcément totalitaire.
Robespierre, son idole, surgit de ses méandres psychologiques et plaça, à l'aide de ses Saint Just et autres Fouquier Thinville, les opposants dans des charrettes comme d'affreux Danton en puissance. Ce qui fait qu'aujourd'hui, à la tête de Résistance Républicaine, il n'y a plus d'opposants possibles ou alors ils s'ignorent encore, ou ignorent qu'ils sont dans le collimateur de la redoutable Christine surnommée robespierrette.
Cela dit, avec sa voix haut perché, elle se fait entendre et bouge beaucoup. Les rumeurs circulent et il paraîtrait qu'elle serait en voie de rapprochement avec d'autres associations y compris celles qui sentaient il y a encore peu, l'eau bénite. C'est tout dire. Mais les rumeurs ne sont que des rumeurs et après tout, après Robespierre la vie a continué et la France a survécu. Elle nous a même donné l'un de ses plus grands hommes le dénommé Napoléon Bonaparte. Qui sait ce que nous donnera Christine Tasin ?
Pour le moment c'est un bébé qui va grandir vite et qui s'appelle Reconquête Républicaine. Encore républicaine allez-vous me dire avec raison, mais n'oubliez pas que sur la monnaie de l'Empire, le mot république y resta longtemps.
Pour vous dire le fond de ma pensée, je suis bonapartiste comme vous le savez tous et je n'oublie pas que la république s'est installé en catimini à la faveur de l'amendement d'Henri Wallon en 1875, soit près de 5 ans après la chute du Second empire. Un second Empire qui mérite mieux que les quolibets injustes de cette république qui fût colonialiste et dont les propos de Jules Ferry, Jean Jaurès ou de Léon Blum classeraient ces trois là dans la catégogire des racistes par la gauche actuelle, héritière elle-même, des pires régimes du 20 iéme siècle.
La France de l'époque était monarchiste mais avait le tort de vouloir trois prétendants l'Orléaniste, le légitimiste et le bonapartiste et n'a pas trouvé le bon. La république a gagné par défaut comme Hollande en 2012.
A mon sens, elle a perdu beaucoup de son prestige comme nous, nous perdons de notre pouvoir d'achat et de notre indépendance. Mais ce n'est que mon opinion.
Bref, revenons à Christine Tasin qui parait-il, a tiré les leçons de notre Histoire dans un petit livre dont Lucette JeanPierre nous parle dans Riposte-Laïque
Gérard Brazon
Par Lucette
Jeanpierre pour Riposte-Laïque
Décidément, en ce moment, les patriotes ont la plume qui les démange. Après Richard Roudier, auteur du livre « Le Glaive et la charrue », Serge Ayoub, qui vient de publier « L’Affaire Méric », c’est au tour de Christine Tasin de s’y mettre. La présidente de Résistance Républicaine vient de publier un livre intitulé « Qu’est-ce qu’elle vous a fait la République ? » Nous sommes d’autant plus sensibles à cette initiative que c’est suite à différents articles que, dans le cadre d’un débat public, notre site a publiés que l’idée de ce livre lui est venue.
En effet, Christine, républicaine jacobine de choc, n’a pas supporté les articles de Paul-Antoine Desroches, Jacques Philarchein ou Michel Tonarelli, expliquant, chacun avec leurs mots, leur prise de distance avec la République et les Lumières pour les deux premiers, et sa perplexité devant l’usage d’un mot dévoyé depuis trop longtemps pour le troisième.
Elle répond également à Béatrice Bourges, avec qui elle avait polémiqué, parfois avec virulence, durant l’été sur Boulevard Voltairesur cette question. On ignorera sa réaction au texte de Pascal Olivier, un des fondateurs de Reconquête républicaine, qui prétend, lui, avec des références communes à celles de Christine, qu’il n’y a plus de République depuis ce qu’il appelle la contre-révolution de mai 1968.
Avec le tempérament qu’on lui connaît, Christine a donc enfilé son armure, empoigné sa lance, et décidé d’en découdre avec les « hérétiques », commettant donc cet ouvrage qui se donne comme objectif de remettre les pendules de la République à l’heure. On remarquera, à la lecture de ce livre, que le mot « traître » revient très fréquemment dans le jargon tasinesque…
L’auteur était enseignante, cela se vérifie. Il faut reconnaître que cet ouvrage est un magistral cours d’histoire, qui a l’avantage d’être lu en moins d’une heure et d’être accessible à tous. On reconnaît là le talent de Christine pour vulgariser des concepts parfois difficiles à cerner pour le commun des mortels. Expliquant ce qu’était vraiment la monarchie de droit divin, et toutes les injustices dont elle était porteuse, elle réhabilite la Révolution de 1789, Robespierre (ce qui fera grincer quelques dents) les Lumières, la laïcité et la République, et tout cela en 70 pages d’un livre de petit format ! Elle rappelle quelques vérités élémentaires, notamment à travers l’histoire du chevalier de La Barre, qui ne font de mal à personne.
On regrettera, au vu de la qualité de l’argumentaire, que la présidente de Résistance républicaine n’ait pas fait profiter ses lecteurs de sa plume pour nous démontrer, de manière précise, en quoi Hollande et sa clique d’imposteurs, qui n’ont que le mot République à la bouche, la trahissent quotidiennement, par leur politique menée depuis trente ans. Peut-être pour un prochain livre, qui pourrait, celui-là, être édité par Riposte Laïque…
Mais on se réjouira surtout qu’au delà des polémiques, Christine appelle, dans sa conclusion, tous ceux qui aiment la France, notre culture et notre civilisation, qu’ils soient monarchistes, républicains, athées ou chrétiens, à se regrouper pour sauver le pays du cancer islamique.
N’est-ce pas là l’essentiel ?
Lucette Jeanpierre