Un excellent article de Stephan A Brunel sur Boulevard Voltaire qui explique clairement la volonté de culpabiliser les blancs, les chrétiens, les souchiens. Ce que peu réalisent dans cette France profonde, du Perche, les plaines de la Beauce, dans la campagne du Cantal, les vignobles du Bordeaux, de la Bourgogne et de l'Alsace, les terres de Provence, les plaines de Vendée et de Bretagne, et d'autres, aux cultures si différentes mais si complémentaires que ce sont ces petits mondes qui vacillent.
Déjà, dans bien des villes, les marchés ne sont les marchés d'antan, le cochon n'est plus roi, la charcuterie est halal ! Les bienheureux disent "qu'importe, cela à le même goût", d'autres idiots utiles pensent que c'est une nouvelle façon de mieux manger. Tous oublient que le halal est surtout un marquage religieux. La bête est tué au nom d'un dieu, elle souffre 10mn et vomit des bactéries dans ses poumons qui continue de fonctionner malgré la blessure béante faite à sa gorge. Oui les bonnes âmes, elle est égorgé vivante et elle souffre ! C'est cela le halal mesdames et messieurs les bien-pensants, les bobos-gogos du multiculturalisme. Mais au delà, c'est nos cultures ancestrales qui finiront de cette manière comme d'autres avant l'arrivée de l'islam sur leurs territoires. Il seraient sans doute temps de vous réveiller.
Gérard Brazon
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Par
Stephan Brunel pour Bd Voltaire
Si l’on veut voir comment une idéologie se met en œuvre, les jours passés nous en apportent une preuve éclatante. De quoi s’agit-il ? De faire croire, comme une publicité de France Télévisions nous l’assène, que la France serait riche de ses différences, avec passage en revue de Français différents par l’unique couleur de leur peau : nouvel exemple de bêtise pour faire barrage au prétendu racisme du Front national et de ses affiliés.
Une autre occurrence est la mise en avant dans la publicité, les reportages ou les films télé de personnes dont l’unique intérêt, pour ne pas dire talent, est de ne pas être blanc. Le football et le basket-ball féminins français, très monochromes, en subissent partout à l’étranger les quolibets. L’hommage aux troupes maliennes et africaines sur les Champs-Élysées le 14 juillet au nom de la même visibilité participe de cette aberration.
Sur l’offensive idéologique en cours, on observera aussi les atermoiements médiatiques à propos des hordes sensibles à Brétigny, de la Marianne à gueule de Femen ou encore de la défense des Roms en situation irrégulière. Mais la plus belle perle se trouve cet été au Festival d’Avignon dont la 67e édition a pour thème « l’Afrique, les quartiers périphériques, la jeunesse » ; Avignon qui nous gratifie d’une exposition où des acteurs, tous noirs, sont exhibés dans des cages, à la façon des expositions coloniales, pour l’édification des spectateurs blancs.
La France de la diversité ainsi définie ressort d’une conception biologique et raciale de la structuration sociale, sur le modèle états-unien, la race assimilée à la couleur de la peau, et celle-ci comme différenciateur culturel, au moment où nos Tartuffes décrètent que les races n’existent plus et qu’il faut en extirper l’odieuse récurrence dans nos textes législatifs !
Le marqueur biologique — couleur de la peau, sexe, origine ethnique, orientation sexuelle— définira l’appartenance communautaire ou nationale pour nos bien-pensants quand le plus demeuré des fascistes patentés sait que l’enjeu tient aux différences culturelles — croyances, modes de vie, rapport aux autres, mœurs, institutions — et non au fait d’être noir, blanc, gris ou jaune…
Le modèle républicain est entamé depuis vingt ans par la politique de la ville, les mesures en faveur des ZUP, ZEP, ZSP, femmes-relais et grands frères, et autres mesures discriminatoires contre ces nouveaux damnés de la terre qui ont la malchance d’être trop blancs, trop chrétiens, trop souchiens.
L’enjeu civilisationnel n’oppose pas racistes et antiracistes, mais culturalisme et multiculturalisme. L’Europe fait face à une colonisation culturelle doublée d’une invasion de peuplement. Faute de réagir, nous serons les derniers des Mohicans. À Avignon, des descendants des colonisateurs transformés en voyeurs avouent leur honte d’être blancs. C’est exactement le but de l’entreprise de conquête idéologique en cours, et qui est en passe de réussir.