Anonyme et lu sur le net
Nous avons connu les gentils camarades, aux millions de morts dans un infâme goulag. Ceux qui parlaient toujours de liberté du fond des miradors et des champs de barbelés.
Nous avons vaincu les promesses de la rose, faite d'utopie mais sans overdose. Comment pouvons-nous avoir si vite oublié ? Tant de vos affaires sociales-socialistes et tant de sang contaminé. Serions-nous frappés d'une curieuse et fatale amnésie, plongé dans un profond sommeil, une immense léthargie, souffrions-nous d'un manque de confiance et de la perte de nos illusions. Et ce pesant silence serait-t'il notre/votre résignation... Qui ne dit Non, consent!
Français quand tu ouvriras les yeux, ton pays aura disparu. Tu seras sûrement très malheureux mais ton opinion n'importera plus. Français quand tu ouvriras les yeux, ton pays n'existera plus. Simplement bradé puis vendu.
Tu te souviendras alors, nous t'avions prévenu.
Cette couleur verte n'est qu'un camouflage, une sorte de repère aux curieux personnages. Elle est bien rouge la couleur de leurs pensées. Tellement noir la couleur de leurs projets.
Il est bien dommage de parler de son pays avec un tel langage, un jugement qui semble sans appel. Ce ne sont que des mots par ici, des chansons par là, mais c'est surtout des cris. Comme un signal d'alarme pour éteindre l'incendie.
Français quand tu ouvriras les yeux, ton pays aura disparu.
Tu seras sûrement très malheureux mais ton opinion n'importera plus.
Français quand tu ouvriras les yeux, ton pays n'existera plus.
Simplement bradé puis vendu. Tu te souviendras alors: nous t'avions prévenu.
Nous t'avions prévenu...
Anonyme