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La Kafala: une loi religieuse qui commence à sévir en Europe! Explications - Par Gérard Brazon

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 Parce qu'il faut bien connaître ses adversaires, l'islam, et surtout savoir que nos dirigeants ne sont pas des ignares,  je vous propose un article un peu procédurier sur l'adoption et les résultats sur nos dirigeants politiques et les abandons de souveraineté au profit d'une religion au nom d'intérêts diplomatiques. Qu'est-ce la Kafala? C'est l'adoption ou plutôt la non adoption du point de vue du droit français d'un enfant né musulman.

Par Gérard Brazon

 

Qu'est-ce que la Kafala?

La kafala est une procédure d'adoption spécifique au droit musulman, qui interdit l'adoption plénière, et s'oppose en général à la procédure d'adoption au nom de la famille, considérée comme pilier de la société. Un enfant, en particulier naturel (né hors mariage, etc.), peut donc être recueilli par une famille adoptive, mais n'aura jamais les mêmes droits d'héritage qu'un enfant légitime: il s'agit d'une tutelle sans filiation, l'adopté gardant son patronyme d'origine. Cette particularité de l'interdiction de l'adoption dans l'islam est liée à la vie du prophète Mohammed.

  

Ce qui est étonnant c'est que la Kafala est reconnue par la Convention relative aux droits de l'enfant de 1989 alors même que c'est une loi religieuse, une loi coranique issue de la charia!

Quoi d'autres

La Kafala peut être définie comme l’institution par laquelle une personne ou une famille s'engage, à l’instar d’un parent pour son enfant, à prendre en charge la protection, l'éducation et l'entretien d'un enfant abandonné. La famille qui accueille un enfant dans le cadre d'une Kafala exerce sur celui-ci l'autorité parentale sans pourtant toutefois créer un lien de filiation, niun droit à la succession. Étant considérée comme une institution d’inspiration religieuse, elle trouve sa source première dans le Coran. (Bien entendu, la Kafala devrait-être contraire à nos lois qui garantissent l'égalité de traitement entre les enfants d'un couple! A ce stade, on peut se poser la question de l'adoption d'un enfant musulman par un couple homosexuel dans le cadre de la nouvelle loi : "le mariage pour tous".) - Pour info, la Kafala est aujourd’hui réglementée, dans le droit marocain, par la loi n°15-01 du 13 juin 2002 relative à la prise en charge des enfants abandonnés.

 

Les fondements de la Kafala! 

Pourquoi ce refus de l'adoption en droit musulman. C'est encore venu de l'inénarable Mahomet et de son sens pratique pour satisfaire ses pulsions sexuelsZaynab était la femme du fils adoptif de Mohammed.

Celui-ci voulait la femme de son fils adoptif (Ben voyons) mais il  s'est retrouvé en porte à faux par rapport aux textes de législation sur l'inceste et il a fallu une "révélation spéciale" pour abolir l'adoption dans l'islam.

Révélation divine bien sûr et s'appliquant à Mahomet à "l'insu de son plein gré"! Révélation qu'Aïcha, sa dernière et très jeune épouse, qui fût violée à l'âge de neuf ans, a tout de même considéré comme particulièrement étonnante. Mais à cette époque, il valait mieux qu'elle se taise. (d'où les conséquences aujourd'hui dans tous les pays musulmans)

Voici un récapitulatif des faits ayant entrainé l'interdiction de l'adoption en islam.


L'adoption était autorisée en islam (hallal). Mohammed avait un fils adoptif Zayd que l'on appelait "ibn Mohammed" (fils de Mohammed).  Zayd ibn Mohammed était marié à une seule épouse, la belle Zaynab. Mohammed, âgé, qui avait plusieurs épouses entre chez son fils et voit Zaynab vétue légèrement.  Il en tombe éperdument amoureux (désir sexuel) et le dit à Zaynab.  Zayd ibn Mohammed en est informé par Zaynab qui lui rend la vie dure à partir de cet instant.  Zayd ibn Mohammed décide de répudier Zaynab pour plaire à son père, le prophète Mohamed.

Mohammed demande Zaynab en mariage via son fils Zayd qui avoue cependant qu'il est encore amoureux. Zaynab réclame un verset du Coran qui en donne l'ordre pour accepter ce mariage. Le verset arrive dans les minutes qui suivent (Coran Sourate 33.37-38). Mohammed épouse Zaynab ce qui provoque un conflit avec Aïcha (la très jeune épouse de Mohammed) qui est jalouse. Les croyants font remarquer à Mohammed qu'il viole les lois sur l'inceste. Mohammed reçoit une révélation qui le sort d'affaire en abolissant l'adoption dans l'islam. Aïcha fait remarquer que Dieu est fort accommodant pour les désirs de Mohammed. Mohammed renie Zayd: il est déshérité et ne peut plus porter le titre de "ibn Mohammed" (Mohammed n'aura aucun autre fils qui vivra malgré ses nombreuses épouses et concubines) La mesure est généralisée dans l'islam: l'adoption est interdite à tous les musulmans et remplacée parla Kafala islamique.


Mais cela ne s'arrête pas là!

Des problèmes apparaissent: si les enfants adoptifs doivent être reniés et que les lois sur l'inceste ne s'appliquent plus que faire des enfants adoptifs devenus adultes qui sont encore au foyer? Mohammed recommande que les mères allaitent au sein les enfants adoptifs dans ce cas pour rétablir des règles leur interdisant les relations sexuelles:  la mère tétée devient "mère de lait". L'allaitement étant un acte maternel qui empêcherait tout acte sexuel entre les deux.

La fatwa(ridicule )de la tétée entre collègues de sexe opposés est promulguée en se basant sur ces recommandations.

Une fatwa similaire donne le droit au mari de demander à sa femme de se laisser téter par ses amis durant le ramadan. (Si un ami musulman vous demande de têter sa femme, n'allait pas croire que c'est parce qu'il vous aime bien ou qu'il envie de faire une partie à trois! C'est tout simplement parce qu'il obéit à cette fatwa et qu'au fond, il se méfie de vous. Quant à sa femme il peut la frapper... C'est aussi cela l'islam! ndlr Gérard Brazon)

Il y a des orphelins et des enfants mendiants en grand nombre dans tous les pays musulmans: personne ne peut les adopter, l'adoption étant interdite dans l'islam.


Débat en France

Les discussions furent âpres tant à l’Assemblée nationale qu’au Sénat, entre partisans du respect absolu de la loi du pays de naissance, par souci de diplomatie essentiellement et les défenseurs du droit des enfants à bénéficier d’une famille.

Le Parlement néanmoins, a voté3 (*) le texte prohibitif proposé par les services du ministère de la justice, lequel figure désormais à l’article 370-3 alinéa 2 du code civil : « L’adoption d’un mineur étranger ne peut être prononcée si la loi personnelle prohibe cette institution, sauf si ce mineur est né et réside habituellement en France. » On ne peut être plus clair : ce texte impose aux juges français d’appliquer la loi du pays de naissance des enfants recueillis en kafala et leur interdit d’appliquer la loi française, contrairement aux règles énoncées par la loi du 6 février 2001 en matière d’adoption internationale.

Dans un premier temps, les juges du fond se sont montrés réticents à appliquer cette règle nouvelle, qui fige les enfants dans un statut imposé uniquement par leur lieu de naissance, jusqu’à ce que par deux arrêts du 10 octobre 2006, la Cour de cassation leur rappelle fort logiquement qu’en droit français, l’article 370-3 alinéa 2 du code civil interdit de prononcer l’adoption, même simple, d’un enfant né en Algérie ou au Maroc et recueilli dans son pays de naissance en kafala4 (*).

* 3 Loi n° 2001-111 du 6 février 2001 relative à l’adoption internationale.

* 4 Civ. 1ère 10 octobre 2006, Bull. Civ. I n° 431, cassant, sur pourvois dans l’intérêt de la loi du Procureur Général de la Cour de cassation, deux arrêts de cours d’appel (Reims 2 décembre 2004 – enfant né au Maroc le 6 février 2003 et Toulouse 15 février 2005 – enfant né en Algérie le 28 juin 2002).


Ce qui nous éclaire sur les comportements de la droite et de la gauche vis à vis de l'islam, vis à vis du Maroc, de l'Algérie, du Qatar, etc.

Il aurait suffit de pondre une loi réaffirmant la souveraineté de la France et l'égalité des droits entres les enfants! Le débat était clos et la justice passait tout simplement. Ce ne fût pas le cas. Merci les socialistes, merci l'UMP et merci Nicolas Sarkozy!


Débat au Maroc 

(des facilités de plus en plus limitées pour l'adoption d'enfants marocains par des étrangers)

C’est l’ancienne ministre de la Solidarité et de la Famille, Nouzha Sqalli (octobre 2007-janvier 2012) qui a lancé les hostilités, crtiquant la décision de Mustapha Ramid de réduire à néant les possibilités des étrangers non-résidents au Maroc de se voir attribuer la Kafala d’un enfant marocain. Pour la députée, la circulaire du 12 septembre en plus de porter atteinte à l’indépendance de la magistrature, a été prépareé sans la participation des associations qui s’occupent des enfants orphelins ou sans familles dont le nombre est estimé, selon Mme Sqalli, à 6000 au Maroc. Poursuivant sur un ton critique, l’ancien ministre avance que cette mesure risque de priver 3000 enfants de familles d’accueil, faisant savoir que les Marocains résidents sur le territoire national ne couvrent que la moitié des cas. Et de demander au ministre de retirer sa circulaire.


Débat suite

Une circulaire du ministère de la justice écarte les étrangers non résidents au Maroc du droit à la kafala. Un collectif de six associations crie au scandale. Le suivi de la kafala ne pouvant être assuré à l’étranger, le ministère craint que l’enfant adopté ne soit pas éduqué selon les préceptes de l’islam.


En France

Selon l’islam, la filiation ne peut être que biologique. La 33e sourate du Coran dit : Allah « n’a point fait de vos enfants adoptifs vos propres enfants».

Le Maroc ou l’Algérie ne connaissent donc pas l’adoption, mais un système de tutelle appelé « kafala », bien connu là-bas, qui ne rompt pas les liens biologiques. Chaque année en France, 300 à 400 couples accueillent un enfant sous ce régime, pas vraiment reconnu par le droit français.


(...) Le statut juridique des kafils (issus du Kafila) a longtemps divisé les tribunaux. Tout en reconnaissant « la notion de recueil », le 14 avril 2010 la Cour de cassation confirme par exemple un refus de nationalité à « Massile X », jugeant qu’il a certes été recueilli, mais « de manière épisodique ». On lui reproche notamment d’avoir « été très souvent absent (des semaines entières, parfois consécutivement) » du territoire.


Quand des parents tentent par ailleurs de transformer une kafala en adoption, la justice les déboute aussi. Car « l’adoption d’un mineur étranger ne peut être prononcée si sa loi personnelle prohibe cette institution.


On voit bien que la France ne respecte pas les enfants et encore moins les parents français au nom de la charia. C'est donc par le désir sexuel du dépravé  et obsédé sexuel Mahomet, pédophile en particulier que depuis 1400 ans des enfants ne peuvent trouver de parents adoptifs. 

Ce sont des dirigeants politiques européens qui par leur bassesse infinie, autorisent les délires ourtre tombe, d'un prophète à continuer de nuire et influer sur des pays chrétiens et laïcs. 

On voit bien à quel niveau nos pays sont tombés en tirant sur un simple fil! Celui  de l'adoption.

Il faut que les français prennent conscience que l'islam n'est pas une simple croyance en un dieu et en des préceptes religieux mais surtout un système politique et juridique qui ne laisse aucune autre place.

La charia (système juridique) n'accepte aucun partage et la vie de Mahomet est l'exemple parfait. Est-ce que nos sociétés à la culture avancée voudront retourner à l'obscurantisme et particulièrement à celui du monde des bédouins du 7iéme siècle. A boire de la pisse de chameaux pour soigner les maux de têtes.  C'est tout le débat et le combat que les résistants à l'islamisation mènent. 

Gérard Brazon

Lire aussi : La Kafala et l'Espagne qui viole ses propres lois.


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